5 questions pour préserver son cœur

Article paru dans Sciences & Avenir #980 – octobre 2022 /



Adopter une bonne hygiène de vie est le meilleur moyen de réduire les facteurs de risques des maladies cardio-vasculaires : c’est ce que l’on appelle la prévention primordiale.
 
1/ Quel impact une activité physique régulière peut-elle avoir sur son cœur ?
Selon la Fédération française de cardiologie, la pratique régulière d’une activité physique (30 minutes par jour) et la lutte contre la sédentarité réduisent de 25 à 35 % le risque de maladies cardiovasculaires. Bouger stimule le muscle cardiaque et les vaisseaux, permet de lutter contre le surpoids et le risque de diabète ou de maladie coronaire. Pas la peine de pratiquer du sport intense, certaines activités quotidiennes, comme marcher d’un bon pas, faire le ménage ou jardiner, sont tout à fait profitables. Quant aux personnes souffrant déjà d’une maladie cardiovasculaire, ayant subi un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral, elles doivent opter pour l’activité physique adaptée (APA) encadrée par un professionnel spécifiquement formé (kinésithérapeute ou coach sportif). L’intérêt est majeur : en 2013 une méta-analyse parue dans le British Medical Journal concluait en effet que l’activité physique est tout aussi efficace que les médicaments pour réduire la mortalité après un accident cardiovasculaire.
 
1/ Quel impact une activité physique régulière peut-elle avoir sur son cœur ?
Selon la Fédération française de cardiologie, la pratique régulière d’une activité physique (30 minutes par jour) et la lutte contre la sédentarité réduisent de 25 à 35 % le risque de maladies cardiovasculaires. Bouger stimule le muscle cardiaque et les vaisseaux, permet de lutter contre le surpoids et le risque de diabète ou de maladie coronaire. Pas la peine de pratiquer du sport intense, certaines activités quotidiennes, comme marcher d’un bon pas, faire le ménage ou jardiner, sont tout à fait profitables. Quant aux personnes souffrant déjà d’une maladie cardiovasculaire, ayant subi un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral, elles doivent opter pour l’activité physique adaptée (APA) encadrée par un professionnel spécifiquement formé (kinésithérapeute ou coach sportif). L’intérêt est majeur : en 2013 une méta-analyse parue dans le British Medical Journal concluait en effet que l’activité physique est tout aussi efficace que les médicaments pour réduire la mortalité après un accident cardiovasculaire.

Adopter une bonne hygiène de vie est le meilleur moyen de réduire les facteurs de risques des maladies cardio-vasculaires : c’est ce que l’on appelle la prévention primordiale.
 
1/ Quel impact une activité physique régulière peut-elle avoir sur son cœur ?
Selon la Fédération française de cardiologie, la pratique régulière d’une activité physique (30 minutes par jour) et la lutte contre la sédentarité réduisent de 25 à 35 % le risque de maladies cardiovasculaires. Bouger stimule le muscle cardiaque et les vaisseaux, permet de lutter contre le surpoids et le risque de diabète ou de maladie coronaire. Pas la peine de pratiquer du sport intense, certaines activités quotidiennes, comme marcher d’un bon pas, faire le ménage ou jardiner, sont tout à fait profitables. Quant aux personnes souffrant déjà d’une maladie cardiovasculaire, ayant subi un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral, elles doivent opter pour l’activité physique adaptée (APA) encadrée par un professionnel spécifiquement formé (kinésithérapeute ou coach sportif). L’intérêt est majeur : en 2013 une méta-analyse parue dans le British Medical Journal concluait en effet que l’activité physique est tout aussi efficace que les médicaments pour réduire la mortalité après un accident cardiovasculaire.
 

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